Comment ne pas sourire en voyant ce Dilbert! Je vois deux choses particulièrement marrantes. De un, ça me fait penser à plein de gens qui sont dans un job cul-de-sac qu’ils n’aiment pas. De deux, ça me fait à d’autres qui essaient de trouver le truc qui les rendra riches.
Dans le premier cas, on ne peut rien pour ces gens qui s’emmerdent à leur job. C’est une décision personnelle que d’endurer ça. Puis comme ces emplois sont souvent de belles cages dorées, même si la porte est ouverte, ils restent dedans. C’est pas si pire après tout : mon âme pourrie tranquillement, mais la paye est bonne et il ne me reste que 9125 jours avant la retraite. Et demain, il en restera 9124. Puis 9123 et ensuite 9122.
Dans le deuxième cas, l’attitude est bonne, mais il manque un peu de réalisme. En effet, avec des barrières à l’entrée si faibles, n’importe qui essaie n’importe quoi n’importe comment. Ça devient difficile de se démarquer. Et plus souvent qu’autrement, l’idée est déjà réalisée par d’autres entreprises ailleurs sur la planète.